Mes poêmes obscures !

Les faiseurs de vie

Nuit sombre de voluptée
Deux âmes font l'unitées
Corps céleste d'étoiles
Orgasme peint sur sa toile

Songe d'une nuit blanche
Deux âges font transparences
Souffle d'intense tendresse
Jouir de franche richesse

Journée grise d'anxiétée
Peur de vivre, mais rester
Nos ombres se multiplies
Pour l'enfant de la nuit

Pourvoyeur d'existence
Que la faucheuse réclame
Celle-ci se transforme
En diable tout en homme

Terreur et dimension
Pour vivre de solution
Un ange d'obscénité
Un ange d'obscurité

Semence inaltérée
De cette foi destructrice
Sexe et perpétuité
D'un amour mutilé

L'amour mortel

Une nuit de délice
Par de tendre baisé
Notre chambre cloîtrée
Par l'odeur imprégné

Nos corps s'en flammes
Par les mouvements éphémères
La passion nous transforme
Par des caresses légendaires

Soudain...

Mon coeur s'arrête
Ne bat plus pour aimer
Car l'amour se fait dur
Et l'enfer se fait chaud

Un monde nous sépare
Je suis là, j'en suis sûr
Je la vois, je la sens
Je suis mort, par mesure

Elle me parle encore
De solitude et d'amour
Elle me touche encore
D'âme et d'esprit

Terminé, le temps des songes

Je ne peux contre dire ma vraie nature, je suis faible.
Mon esprit me torture et me semble prêt à pourrir.
Lorsque la haine devient trop intense, le monde change.
Et je suis de l’imperfection !

Sourire n’est plus de mon caractère et le pouvoir ma observé.
Ils ont essayé de me corrompre avec de belles promesses.
Comme tous ses fanatiques, qui nous ensorcèles.
J’aime mieux cent fois me faire brûler, que de vivre de leurs illusions.

Si mon cœur est noirci, c’est que notre planète se meurt.
Par la puissance des médias, que tous ses meurtriers se retournent.
Car je leur ferai vivre leur pire châtiment et les enfermés.
Je suis un juge, qui souffre par le souffle du tueur.

Machette en main, je leur ferai perdre la tête.
Leur sang jaillira de leur extrémité.
Tout comme les enfants de la nuit, qui ont souffert.
Je les vengerai par ma haine et ce monde connaîtra ma destruction !

Si nul ne reconnaisse leur culpabilité et nie toute forme de vérité.
L’humain que nous sommes à présent, n’aura plus de postérité.
Et vivre en ayant la peur de mourir n’a rien de bien motivant.
Soyez prêt à l’heure du jugement dernier. Celui de mon arrivé !

J’ai plusieurs noms. J’ai maintes descriptions.
Sous forme d’enfant je vous apparaîtrai.
Et j’entrerai dans votre corps pour vous réveiller.
Soyez prêt aux ténèbres, ne priez plus car je suis là.

Ce recueil n’est pas un appel a Dieu ni au Diable.
Il ouvre seulement la porte vers une illumination.
Je parle des divinités pour faire peur aux inférieurs.
Car votre peur est la mienne et je m’y délecte.

À travers votre fausse lumière se cache mes enfants.
L’ombre qui vous poursuit provient de ma volonté.
Mais n’ayez crainte, car je vous protègerai de cette aveuglante lumière.
Je suis donc, tu es, mais n’oublions jamais, que nous ne faisons qu’un.

Terminé les religions !
Terminé les menteurs !
Terminé les irrespectueux !
Terminé les castrateurs de vie !
Terminé le temps des songes !

Elle baise avec la mort

Seule, elle se caressa dans la pénombre.
Se laissant apprivoiser par ses fantasmes.
Recherchant son plaisir à l’aide d’un scalpel.
Faisant de ce temps, un silence des plus complexes.

Elle commença par introduire l’outil de jouissance.
Tout doucement, sa romance devint une plénitude.
Mais le sang de la vierge s’écoula en vain.
Hurlant de plaisir, elle cru enfin baiser avec la mort.

Elle utilisa donc, sa main ensanglantée.
Puis toucha son clitoris frénétiquement.
Une odeur excitante de sa cyprine planât.
Elle prit alors son majeur, en se léchant, puis retourna.

Soudain, elle devenu plus grise et froide.
Elle comprise que le plaisir devait prendre fin.
Elle préféra se baigner dans son jus.
En coupant le bout de ses mamelons.

Elle tomba au sol se masturbant comme une salope.
En rugissant des paroles obscènes sur l’Orient.
Son scalpel écarlate se dessina sur le sol.
À l'aide de son sang, qui avait été pervertit.

Un immense orgasme surgît de son bas du ventre.
Et son abdomen fut projeté par l'agonie.
Puis, elle mourra avec son macabre plaisir.
Décidement, elle ne baisera plus avec la mort.

La prière du Grimoire aux poèmes obscurs

Ô Grimoire des poèmes obscurs
Ouvre tes pages de chair ensanglanté
Offre le salut du passant, afin de le convertir
Puis, venge ma colère contre l’humanité
Invoque-moi le don du mépris
Redonne-moi la libération par les ténèbres
Blesse-moi d’être aussi ignorant

Ô Grimoire des souffrances nullissimes
Ferme la porte aux chapitres éphémères
Offre tes mythes et légendes aux anciens
Puis, embrasse le chaos pour mieux revenir
Parle-moi avec le don de vérité
Reprend-moi pour mieux te servir
Brime-moi d’être aussi inconscient

Ô Grimoire des chants machiavéliques
Laisse-moi décidé de ce qui est juste
Ne pas croire en de fausse idole
Ne pas vivre en de faux prêcheur
Utilise-moi avec le don de Création
Surprend-moi pour me souvenir du tout
Viol-moi de cette intimidé qui me travesti

Le boucher

Le macabre à la lame tranchante
Dépucelle la jeune vierge déjà morte.
Se laissant valser par son noir désir
Le macabre lui lacère le bas du ventre

Âcre de jalousie de plaisir inavoué
Se délectant de sa sécrétion asexuée.
Se laissant venir par un cri mortuaire
Il lui offrit son jus par jouissance

La morte dans ses yeux, il y eu détresse
Détruite par la lame entre ses seins
Son âme de salope hurlant des abîmes
Et le pourvoyeur l’enfanta par la mort

Une fois sa besogne terminé, il y eu soif
Prenant le calice il fit un souhait
Acclamant son sombre désir
Jusqu’à ce qu’elle revienne à la vie

La victime en milles morceaux
Que le boucher a dépucelé
Morte sans avoir jouie d’orgasme
Mais jouie par l’orgasme du tueur

Il finit par la laisser pourrir
Noyer par le sang de ses autres victimes
Accroché en chef-d’œuvre sur les murs
Tel un artiste et sa toile si précieuse

Retournant dans la cité
Il pourchassa une autre victime
Lui extirpa ses entrailles par la tête
Et sorti son membre pour la baiser

Possession

Il descendit son pantalon et offrit son pistolet
La jeune femme le caressa sinueusement
Lui lécha et l'engorgea avec extase
Elle était son esclave jusqu’alors…

Elle lui arracha le membre avec une pince
Extirpant tout son fluide visqueux sur elle
L’observant de ses yeux pécheresses
Prenant goût de s’en servir tel un jouet

Se l’enfonçant dans son entre jambe
Hurlant de plaisir et de joyeuseté
Le mâle tomba aussitôt raide mort
Elle frotta ses seins avec son sperme

Son rythme cardiaque augmenta
Ses cheveux d’azur effleurèrent le sol
Accroupie encore comme une esclave
Elle ne pourra plus s’offrir à l’homme

Elle prit donc un malin plaisir
D’entré en elle la pince qui servit
Titillant ses paupières en s’extirpant l’œil
Et le jeta à son animal de compagnie

Elle prit alors conscience du geste
Et se rendit à la salle de bain
Pleurant sa démentielle agonie
Mais son sexe était encore humide

Malgré tout, elle prit la pince
L’insérant dans sa bouche agressivement
Et s’arracha les dents d’un coup sec
Puis la pièce devenue imbibé de sang

Elle s’écrasa dans la baignoire
Se laissant partir vers l’au-delà
Pervertis par ses cauchemars
Et changé par sa possession

Suicide

Le mal de vivre l’obsède
Horrifié par ses obscénités
Il a peur de vivre et il angoisse
Il veut en finir très rapidement

Il ferme alors ses yeux en espérant la fin
Croyant que se tuer est la meilleure des solutions
Puis, une larme salée coule le long de sa joue
En criant sa souffrance, il se tir !

Raté !

Il semble que l’arme n’était pas armée
Il a mal d’avoir tout fait à son image
Car ses souffrances sont trop intenses
Tant de gens se meurt pour son amour

 genoux, priant l’unique rédemption
Il souhaite oublier ses erreurs passés
Souhaitant en finir une bonne fois pour toute
En hurlant sa tristesse, il se tir !

Son crâne éclate sur le mur théâtralement
Puis le corps, demeurant inerte tombe
Nul n’aurait pu l’aider à tout reconstruire
Nul n’aurait cru, que même Dieu se suiciderait

Elle

Petite fille brisée par cette douleur inexpliquée
Elle cherche raison à sa folie.

Pour combler l'absence, elle s'enlise dans l'amour inapproprié.
Pour fuir le vide de la souffrance causé, elle s'engouffre aux
paradis des artifices contrôlé.

Maintenant, vieille, elle veut se venger.
Elle caresse idée obscure et haine.
Jurant son bonheur sur leur mort.

Lentement, le venin cultiver depuis tant
d'année, se vide peu à peu accomplissant
le souhait des souvenirs passé.

Bientôt décédé, elle ne pourra plus y pensé.
Paisiblement, la jeune fille blessée s'élèvera
et pourra enfin respirer.

*Pour toi Marie-Ève ! À ces jours, que nous avons traversé ensemble.
Ayant souhait devenir de meilleur personne. Je te remercie de m'avoir
permis devenir un être plus humain.

Sylphe

Soif de sécrétion sanguinaire
En se touchant vigoureusement
Étant en chaleur et nulle étrangère
En ce dévorant, les maux par le sang

Hurlant par l’envie d’immortalité
Brisant soudain, son corps inanimé
Ne Léchant sa proie, que pour s’y abreuver
En jouissant par ses caresses mitigées

Soif de sa chatte immaculée
Se délectant de son pouvoir infini
En demeurant vierge de jalousie
Elle ne lui offrit, que son noble péché

Elle effleura sa morsure envenimée
En absorbant le poison de la rose
Par un opéra de chant grégorien
Elle s’y agenouille, la bouche encore sèche

La vampiresse reçu le don de sa propre destiné
Et se transforma en une toute nouvelle entité
Faisant le pacte impie de sa maîtresse
Car il ne faudra jamais broyer un sans papier

Nue par la chaleur exotique de ses fantasmes
De ce sang bouillant de douleur et d’envie
Pourchassant sa nouvelle proie incrédule
Pour s’apaiser de son immonde charisme

Enfin, Sylphe se retoucha le bout des lèvres et prononça ceci :
Je suis la reine des damnés !

Pédophile_666

Hume cette odeur âcre
De cette violence sanguinaire
De cette griffe mortuaire
De cette royale agonie

Abreuve-toi de sa chair
De ses os qui se cassent
Empale-là par ce caractère
Et offres-y tes décombres

Pousse ta violence intérieure
Illustre ta tuerie par la folie
Palpe le bien-être d’avoir tuer
Cache-toi de son innocence

…Car tu en auras besoin !

Brûle ton âme d’y avoir touché
Cette jeune fille de 12 ans
Saloperie de connard à la con
C’était ta propre fille

Tu as obscurci son univers
En lui caressant sa rosée
En lui offrant ta semence
Elle eu mal de ton gland

Tu es toujours en liberté
Nous allons te retrouver
Te faire vivre la mort
Te faire mourir en porc

Aujourd’hui la fillette est morte
D’avoir vécu le sexe de cette manière
Elle se prit un tournevis et s’éventra donc
En pleurnichant sa courte vie

Tu as eu une sensation de bien-être
Que d’avoir baisé une jeune fille
En imaginant son humide petit trou
Et d’y avoir mit dans sa bouche ton propre sang

Nous te conseillons quelque chose…

D’utiliser une scie mécanique
De te la trancher et t’ouvrir le corps
Puis de te repentir, de ce que tu as fait
Et t’assouvir en ne plus pensant à elle

L'univers est l'homme

À travers le regard de l’infiniment petit
Un univers infiniment grand y réside
De milliard de vie à l’intérieur du tronc
Duquel nous avons pour résidence depuis le premier souffle

De trinité en éternité pour en venir à la vérité
C’est apercevoir par les yeux d’un être
Un toute autre monde provenant de l’infini
Duquel le temps ne s’écoule apparemment plus

De planète en planète gravitant autour d’un soleil
Tout comme l’atome par ces électrons et son noyau
Reconstitue une matrice dont la possibilité de Création semble immuable

La source dont le synonyme est l’énergie
Parvient en outre terme d’évoluer au sein d’un ensemble
Car celui ou celle qui parviendra a proliféré en toute autre organisme
Choisira de partir ou de rester en réduisant considérablement l’omnipotence

Prenant comme exemple les poupées russes
De l’infiniment grand jusqu'à la plus petite
De l’évidence qu’est l’existence et sa destinée
D’atomes en atomes nous y installons pour y évoluer

Envers et contre toute nous progressons
De pars et d’autre nous y régressons
Mais en toute exactitude
Nous y faisons avancer toute de même l’évolution

Ne perdez guère l’objectivité
Ne perdez nullement votre curiosité
Mais prospérer dans un tout nouveau contexte
Ce que je vais présenter comme une révélation

L’importance de vivre provient de l’imaginaire
Car si nous imaginons plus, nous existons plus
Et cela est la plus grande liberté de l’existence
De pouvoir poursuivre nos rêves en imaginant

Triste pardon

J'ai chanté, mais le ciel ne m'a pas écouté
J'ai crié, mais la terre ne m'a pas remarqué
Combien de nuit j'aurai encore à m’repentir?
Troublantes sont mes défaites et peu ne m’rendent grâce

J'ai pleuré, mais l'enfer ne m'a pas approuvé
J'ai tué, mais la morte ne m'a pas oublié
Combien de vérité j'aurai encore à me convertir
Perfides sont mes crimes, mais peu ne m'enlacent

Les larmes d’mon existence sont des réalités ne pouvant être dévoilées

J'ai prié, mais Dieu ne m'a guère accepté
J'ai sacré, mais le prêtre ne m'a guère pardonné
Combien de mélodie j'aurai encore à m'attendrir
Nombreuses sont mes victoires, mais peu ne m’enlacent

J'ai blessé, mais la vierge ne m'a point apaisé
J'ai donné, mais l'intention n'y a point été
Combien de sang j'aurai encore à faire jaillir
Atroces sont mes péchés, mais peu ne m'encrassent

La rébellion de l’infidèle

Je veux parcourir la terre pour y retrouver une raison d’exister.
Il faut que je retourne en arrière pour que ma mémoire me revienne.
Je vise la plus haute montagne afin de pardonner mon triste passé.
Je hurle devant l’indomptable pour que même la mort ne m’efface.

Je suis un ange oublié, qui a été conçu par la solitude.
J’ai parcouru l’enfer et des cendres m’ont intoxiqué.
Il faut que je fuie les chacals qui m’entourent.
De leurs états agité et insatiables.

Le temps est enfin arrivé pour moi de choisir.
De rester ou de repartir.

Le temps est enfin arrivé pour moi de mûrir.
De descende ou de gravir.

Le souffle est l’hymne de la rébellion d’un infidèle.
Qui autrefois était bon dernier, mais qui est devenu le maître.
Le souffle est l’hymne de la rébellion d’un infidèle.
Qui autrefois était bon dernier, mais qui est devenu le maître.

Je veux parcourir l’univers pour y retrouver l’espoir.
Il faut que je consacre ma vie à l’amour et l’honnêteté.
Je vise la plus haute montagne afin de justifier mes tristes péchés.
Je cris sans cesse à l’immuable pour que même la mort ne m’efface.

Je suis une âme tourmentée, qui fut conduit par les autres.
J’ai traversé les océans et ses vagues m’ont submergé.
Il faut que je fuie les requins qui m’entourent.
De leurs états enragés et inapaisables.

Le temps est enfin arrivé pour moi de choisir.
De rester ou de repartir.

Le temps est enfin arrivé pour moi de mûrir.
De descende ou de gravir.

Le souffle est l’hymne de la rébellion de l’infidèle.
Qui autrefois était bon dernier, mais qui est devenu le maître.
Le souffle est l’hymne de la rébellion de l’infidèle.
Qui autrefois était bon dernier, mais qui est devenu le maître.

Le choc nerveux

Si je suis le mal
Ne puis-je pas être le bien ?

Si je suis ce doute
Ne puis-je pas être la solution ?

Si je suis cette énigme
Ne puis-je pas être la réponse ?

Si je suis la validation
Ne puis-je pas être la vérité ?

Alors,

que puis-je faire pour être parfait ?
que puis-je être pour faire parfait ?

Peut-être...

qu'il y a trop de questionnement
qu'il n'y a pas assez de réponse

qu'il y a trop de politesse
qu'il n'y pas assez d'humilité

Je prend ainsi la chance du coureur
Et vous dictez ses fureurs
Mais faut-il encore être capable
De savoir lire entre les lignes

Si je suis le bien
Ne puis-je pas être le mal ?

Si je suis la confiance
Ne puis-je pas être l'authenticité ?

Si je suis cet homme de loyauté
Ne puis-je pas être un ange ?

Si je suis une divinité
Ne puis-je pas être un sage ?

Ainsi,

que puis-je faire pour être de bonne augure ?
que puis-je être pour faire bonne augure ?

Surement,

qu'il y a trop de raison d'être le magnifique
qu'il n'y a pas assez de raison pour se pardonner

qu'il y a trop de pouvoir pour un être inférieur
qu'il n'y a pas assez de pouvoir pour être un menteur

Je prend alors ce temps de silence
pour vous remercier d'être encore en vie
Mais sachez que je reviendrai
en homme pardonné

Prophétie des Ombres

Si le monde est mon péché, alors je vous détruirez par la puissance de ma foi. Tel est ma vengeance !

Personne ne peut regarder la mort en face, car nul n’y sont revenu des limbes jusqu’ici. Seulement moi !

Si l’univers est ma création, alors je vous anéantirez par la force de l’impasse. Un parfait sacrifice !

Ne vous méprenez guère, car ce que je représente est une illusion et le christianisme m’a bien fait misère.

Mais l’heure n’est plus aux faux prophètes. Je suis le malin, qui se cache dans votre inconscience !

Ressentez-la colère, qui vous brûle les entrailles depuis votre naissance.

Réveillez-vous votre foi n’apporte que de malheur !

Vos perceptions provoquent, que de la discordance de moralité et d’amour de pacotilles.

Je suis peut-être bien sans aile, mais je ne vie point dans l’hypocrisie d’une supposé unité, ma foi médiocre !

Et la seule qui souffre c’est la Terre. Donc, retentissez-vous de mon charisme et chanter l’arrivé !

L’ère est aux changements et mon visage sera dépucelé par votre élévation.

Si le monde est ma misère, alors je vous massacrerai par l’ombre de mon insanité. Tel est ma mission !

Nul ne peut me regarder en face pour l’instant, mais bientôt votre vraie nature va ressurgir de votre innocence.

Si l’univers est ma mère, alors je ferai tout en mon pouvoir de préservé cette race démoniaque ! L’alliance !

Maintenant, retenez bien ceci homme sans chance de pérennité, apophyse se rapproche et percutera votre égo !

Tous vivrons un gèle froid et devrons vivre la troisième guerre, mais un seul vous sortira du malheur. Pas moi !

L’espoir de votre civilisation est à l’heure de la rédemption éternelle et les étoiles sont votre salut !

Du haut de mon royaume, je siège pour vous haïr et vous maudire.

Le bien et le mal n’existe que dans vos rêves et il fait sans cesse souffrir.

Lorsque la lumière vous aveugle, de grand manipulateur vous contrôle et se régale de votre sang.

Les vampires existent et ils sont parmi-vous. Les ténèbres offre en contre partie la vérité et la vie !

Souvenez-vous que le mal ne vous a jamais trahie, sauf Dieu.

Mon départ

J’ai peur de m’éteindre, de ne plus pouvoir avoir le souffle de vie.
J’ai des pensés impur de suicide et de malheur.
Mes veines attendent l’heure de la fourche et mon sang bouillonne.
Ma vie est morne et sans intérêt.

Tout ce que je touche, je le détruis et cela me fait peur.
Je suis ordinaire à la vu et mon corps me répugne.
Même la société se répugne de ma projection.
Je ne vivrai jamais assez longtemps pour me pardonner.

Adieu mère, père et conjointe qui m’a chérie.
Je repars dans ma triste matrice sans conscience.
Ni souffle, ni chaleur, que des insectes se délectant.
J’ai encore plus peur de ces choses, que la mort elle-même.

Ainsi, je signe de mon sang cette lettre macabre.
Voulez-vous connaître la façon dont je me suis extirpé la vie ?
Trop difficile pour votre petite personne.
Croire ou ne pas croire, laquelle est la question ?

Tu sais mère le petit canif que mon épouse m’avait offert Noel passé ?
Bien, je suis entrain de l’enfoncé dans mon abdomen et j’ouvre sans peur le contenu.
La souffrance me semble moins terrible, que lorsque j’ai enfoncé mon membre dans la déchiqueteuse.
Cela vous dégoûte t-il ? Moi pas… Car ce que nous sommes est beau !

Lentement je sens la mort m’atteindre et le blanc me fait relativement bien.
Une rivière de sang succombe le planché de ma cuisine et je m’y abreuve.
Tien au nom du Christ ! Tien un morceau de chair ! Toujours au nom du fils de l’homme !
J’ai froid et je suis maintenant engourdie.

Avant de m’éteindre, je vais prier pour que mon âme retourne à la planète.
Une fois pour toute. Je demande satisfaction de mon geste.
Laissez-moi partir, car ce n’est pas moi qui suis au purgatoire.
Je ne vous aime pas. Je ne vous fais plus confiance.

Vous méritez de rester sur Terre pour l’éternité !

Rage de vivre, jusqu'à ce que mort s'en suivre

Je pleure ma rage de vivre pour vous.
Vous, qui ne croyiez qu’en sa bonne fortune.
Vous, qui ne voyez que la surface des choses.
Vous, qui me percevez comme un tyran.

Je hurle mon impuissance de pouvoir tout changer.
Moi, qui suis plus sauvage qu’animal.
Moi, qui suis noircie par ce mal.
Qui vais prendre votre âme et en faire un jouet pour enfant.

Sachez que la fourche est le symbole de ma foi.
Qui transcende les mythes et légendes, depuis trop longtemps.
En s’appuyant sur des faits essentiels, je m’exhibe à nu.
Je n’ai plus peur des fanatiques désormais.

La liste est longue, mais je serai de cristal.
Celui qui va vous reprendre la vie.
Celui qui va faire subir de nouveau un anéantissement.
Celui qui va vous ordonner de me redonner l’espoir.

Sachez que rien ne pourra changer tant que votre illumination advienne.
Pour ceux et celles qui crois avoir déjà vu Dieu, oui !
Vous êtes tous *** ! Et mille fois plutôt qu’une.
Car le symbole de ma foi devrait être perçu plus pertinemment.

Chaque jour vous me voyez ou m’entendez gémir des abîmes de l’enfer.
Et vous avez la triste ignorance de croire sans voir une entité invisible.
De ce fait, je ne suis pas comme cela, car vous allez mourir vous aussi.
Un jour prochain, très bientôt. Qu’il en soit ainsi.

FAUX PROPHÈTE

L’ultime foi inspire les inférieurs
Criant leurs vérités sous les toits
L’ultime roi inspire les médiateurs
Hurlant leurs espérances en sa foi

Créant le néant par la richesse
Utilisant la parole pour mendier
Il fit des miracles de pacotilles
Pour un peuple censé «rebâtir »

Faux prophète !
Sache que nous ne faiblirons pas
Faux prophète !
Sache que nous ne reculerons plus

Centré sur des valeurs excentriques
Priant le pouvoir du premier né
Nous étions entrain de retarder
Le besoin « d’être » préfabriqué

Proclamant le retour du sauveur
Fuyant notre semblable réalité
Nous étions devenus mal informé
Et nous nous sommes entre tué

Faux prophète !
Sache que nous ne te bénirons pas
Faux prophète !
Sache que nous ne cèderons plus

Tel que nous avions été programmés
Nous nous sommes tous enfin suicidé
Tel que nous avions été préparés
Nous nous sommes tous enfin englouti